mercredi 5 novembre 2008

Jugement Premier.

Tueurs pourrissants aux putrides appétits,
Dociles chiens fats de l'Ordre établi,
Marchands de mort conscience gangrénée,
Viandards assoiffés de merdeuse misère :
Bourreaux ! Tortionnaires !
Sergents charognards, flics matraqueurs.
Fiers violeurs d'âmes édentées,
Qui vomissez une haine suintante de Douleur...
(Relents de crasse-TV)
Votre apparence d’honnêteté pue la malveillance.
Buvez ! Buvez à notre malheur comme d’autres boivent à la vie.
Car le temps viendra où l’Orgueil bafoué du peuple
Secouera cette Terre nucléaire, détruite, calcinée.

Alors sonneront les trompettes du Jugement Premier.

« Et s’ils s’obstinent, ces cannibales,
A faire de nous des héros,
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux. »

2 commentaires:

marilain a dit…

Bonjour Coco

Très jolies poèmes...Magnifiques poèmes... Une sensibilité à couper le souffle... Une maturité naissante qui ne tend qu'à s'épanouir...
Malgré tout, malgré nous, nous sommes tous plongés dans une réalité crue, aussi triste et décevante soit elle... Ecrire ses textes c'est sublimer son existence et nous faire rêver d'avantage....Bonne continuation. Merci pour ces lignes...

PS : Petit sourire...
Honte aux flics matraqueurs qui n'ont pas leur place, mais ne jamais oublier que faire des amalgames est tout aussi dangereux et qu'ils en existent de braves et de valeur..
Marilain

Coco a dit…

Coucou ! J'étais pas allé sur mon blog depuis quelque jours. Merci pour ton message !!
Pour les "flics matraqueurs", j'savais que t'allais relever ^^
Tu sais que j'ai un jugement objectif sur ce point !

Bisous, à plouche !